American Nightmare : 364,5 jours sans violence

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  •  Pitch

Dans une Amérique rongée par une criminalité débridée et des prisons surpeuplées, le gouvernement a donné son accord pour qu’une fois par an, pendant 12 heures, toutes activités criminelles, meurtres inclus, soient légalisées. La police ne peut intervenir. Les hôpitaux suspendent leurs services. Une nuit durant, les citoyens sont à même de définir leurs propres règles et de faire leur propre loi, sans avoir à craindre de sanctions. Au cours d’une telle nuit hantée par la violence et le crime, une famille va devoir faire un choix – bourreau ou victime ? – face à un inconnu venu frapper à sa porte.

  • Avis perso

Dans ce genre de film, c’est le dernier quart d’heure qui définit si il s’agit d’un navet ou d’un très bon film…en l’occurrence, il s’agit pour moi d’un très bon film !

Néanmoins, il y a deux manières de l’analyser…soit comme un simple et déjà-vu huit-clos inséré dans un contexte original soit voir le huit-clos comme accessoire mettant en avant ce contexte original.

Pourquoi ces deux possibilités, car de prime à bord le contexte original est amené via des flashs d’info en arrière plan or c’est dans ces flashs qu’est l’intérêt même de l’histoire…et si on ne se concentre sur l’action et qu’on n’y fait pas attention…ce film ne sera qu’un huit-clos de plus !

Par contre si vous y accrochez…vous serez amené à vous poser quelques questions suite à ce contexte malsain bordant le huit-clos !

Du côté du casting : Ethan Hawke et Lena Headey s’incorporent à merveille dans leur rôle de petit bourgeois !